Bureau de Jane Ryan

Voici le bureau de la psy du centre.
Quand vous rentre vous voyer une plaque avec ecrit:JANE RYAN
Vous voyer aussi un divan bleu foncer.C'est la que vous vous asseyer.

Vous pouvez venir me voir pour tout ce que vous voulez:confidence,peur...

Soleine avait la drôle de mani d'entrée dans les pièces comme dans un moulin. Mais pour une fois elle prit la peine de toquer. Sa visite était surtout pour voir un peut la pièce de ses propres yeux...elle n'aimait pas tellement parler de ses problèmes personnes. Donc, la jeune fille toqua a la porte et attendit une réponse.

[Pas trop d'inspi, desoler.]

Soleine qui trouvait le temps long, bien qu'elle n'attendait que depuis quelques secondes, était déjà sur le point de partir. Lorsque la porte grinça. Une femme, souriante, ouvrit la porte.
-Eum..bonjour! Je m'appelle Soleine
L'adolesente rentra dans le bureau. Elle remarqu'à tout de suite que le bureau était bien renger et que la décoration était très jolie.

Soleine fit un sourire…au moins maintenant elle savait quoi dire.

-Et bien, je suis née dans une famille bourgeoise. Mon père est partit vivre avec une autre femme a mes 4ans sans jamais plus me laisser de nouvelle ni a moi ni a ma mère. Ma mère dépasser part ce qui lui arrivée c’est noyer dans l’alcool. Jusqu’à mon arrivée ici j’ai dut voir une bonne 30ene défiler tout les jours ou tout les mois dans cette maison alors que ma mère c’était déjà remarier. Pour me faire taire ou calmer un caprice elle m’offrait toujours un cadeaux. Je pourrait presque dire que si je n’avait jamais traînait dans la rue je serait une gamine déjà fiancée avec quelqu’un que je ne supporterais pas.

Plus la jeune fille parlait, plus son cœur se remplissez de haine.

-Oui…évidement quand j’était petite je trouvais super agréable et ainsi j’en profitais mais en grandissant je me dit que j’aurais préférer une mère stricte qui ne laisse rien passer. Si sa avait était le cas je ne serait jamais arriver ici.

Elle haussa les épaules.

-Parceque je ne serais jamais sortit dehors tard le soir, je n'aurais jamais fumée ni bus, ou alors seulement a petite dose. Je ne me serait jamais...enfin bref! Voila.

Elle réflechit

-Des vrais amie? Oui j'en avait 2. Une venait du même milieu que moi et l'autre avait des parents normaux, on était toujours emsemble. Quand a mes ennemis je n'ai surement pas assez de doigts pour les compter.